La courroie se charge fortement de poussière et micro-gravillons puis agit sur les poulies comme une meule, surtout sur les poulies en alu...
C'est toujours la pièce la moins dure qui bouffe la plus dure, pas l'inverse.
Pour illustre ce raisonnement, voilà l'exemple de galets de Solex de course en acier XC48 trempé au bain ammoniaqué à 850°, donc extrêmement durs.
Là ils ont 4 courses de 2 heures, le pneu n'a pas souffert mais a "mangé" l'acier...
Le modèle "pluie" :
et le modèle "piste sèche", juste marqué d'un léger moletage au départ :
Il en va de même avec une courroie, le mieux est de protéger celle-ci des projections de poussière provoquées par le pneu pour éviter l'usure du beau variateur bien cher, à moins bien sûr de rouler très peu...